Les caprices de la Poste s'étant épuisés, le numéro 114 de Filigranes est arrivé dans ma boite aux lettres (et, par acquis de conscience, en deux exemplaires)...
De numéro en numéro, c'est un peu comme si mes textes y réservaient leur place...
Un petit extrait pour vous mettre en appétit :
"Je ne cesse de crier
Avertir
Supplier
Je ne sais ce que modes veulent dire
Quand la vie est si proche de basculer
Dans l’insupportable délire
D’un « progrès » mortifère
Toujours en moi-même je combats
La fonction discursive des dominations
Mes mots sont si faibles à chanter
À l’unisson des humiliés
Je pose mes mots
Chaque matin à jeun je les pose..."
Et, si vous voulez y participer ou vous abonner (ce qui serait une excellente idée et un beau cadeau à faire), c'est ici : Filigranes la revue
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