J'écrivais une poétique des confins. Nous étions en mars, et me parvint un appel à texte, dont la publication viendrait à aider, si mes souvenirs sont exacts, population d'un EPAHD, dont on sait quel fut leur triste sort qui n'intéressait pas grand monde, du moins du côté du pouvoir.
Alors je venais d'écrire au matin du vingtième jour de notre enfermement. Nous ne mesurions pas bien vers où nous mènerait cette dictature sanitaire. Nous ne le voyons pas mieux aujourd'hui sinon que nos libertés les plus "essentielles" sont largement compromises au nom de la rentabilité des actions d'une poignée d'individus dépourvus de toute humanité.
J'écrivais, j'envoyais et puis, j'ai oublié, même lorsque je reçus par mail l'avis de publication et la possibilité d'en acheter un exemplaire. Il en est ainsi que je porte très peu d'attention au chemin que prennent mes écrits.
Mais là, c'était pour une bonne cause, alors, il est toujours possible de racheter mon erreur en vous invitant à commander ce bel ouvrage ici : Editions L'Harmattan/Un matin de mars 2020
C'était en septembre 2020, ce n'est pas si loin sur l'échelle du temps...
Xavier Lainé
11 avril 2021
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