Il en est encore qui croient nos gouvernants désemparés devant la « pandémie ». Courbes et chiffres pris on ne sait où nous affirment qu’il en est ainsi.
Chose étrange que cette fiction qui englue nos cerveaux au point de nous détourner des mesures prises en coulisses qui visent à parachever l’oeuvre entreprise depuis quarante ans et plus.
Lente érosion quasiment au même rythme que celle des glaciers de notre potentiel humain.
Nous voici réduits à n’être que supplétifs de machines qui décideraient pour et mieux que nous de nos vies.
Réduction à la misère totale proportionnelle à l’envahissement de notre univers par des robots sans âme ni conscience.
Ceux qui les servent, adeptes de cette religion d’une science réduite à ses techniques, déconnectés d’un réel qu’ils ne cessent d’abîmer ont déjà perdu toute qualité humaine.
Ils répètent à l’envie les mantras des « communicants » dont le rôle est de nous enfumer toujours plus, de nous détourner du réel.
A refuser de voir le visible, sentir le sensible, nous voici du fond de nos dénis, consentants silencieux au pouvoir de l'absurde.
L’absurde comme une prison à ciel ouvert dont nous sommes les hôtes et les geôliers.
Nous voici donc comme des prisonniers alignant barres gravées sur le mur par paquets de dix, sans savoir quand interviendra la libération.
Ce que nous ne savons pas, c'est que nous possédons les clefs. Mais de tortures psychologiques en menaces d'enfermement pire, nous finissons par oublier détenir la force de notre liberté.
Un mois s'envole emportant avec lui les voeux pieux. Il reste à établir pas à pas les actes de résistance au brouet insipide et stupide qui nous est servi chaque jour.
Xavier Lainé
31 janvier 2021
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